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2030 – LA DURABILITE TOURISTIQUE ET LE SURTOURISME EN QUESTION !

*- qu’aux interactions négatives entre les touristes (individuels ou groupes), les résidents et les professionnels du secteur, qui découlent des flux trop importants de touristes à certaines périodes et dans certains lieux ou bien même,

*-qu’entre les habitants et les visiteurs, qui ont le sentiment qu’il y a trop de visiteurs et que la qualité de vie dans la région ou la qualité de l’expérience s’est détériorée de manière inacceptable,

*-qu’entre les résidents et les professionnels du secteur, considérant que cela découle des flux trop importants de touristes à certaines périodes et dans certains lieux,

*-que le surtourisme se caractérise par l’afflux massif de touristes vers une ou des destinations qui n’ont pas la capacité d’accueil nécessaire, les éléments d’intégration des activités touristiques périphériques de jour et de nuit suffisants déterminants ?

*-les valeurs fondamentales du service public territorial et de l’intérêt sociétal général doivent être respectés !

*-les valeurs propres à la fonction publique telles que continuité, engagement, intégrité, légalité, loyauté, neutralité, se doivent d’être respectées sur la base d’un programme directeur urbain ou local ou régional qui aura été élaboré en application d’une approche nationale s’appuyant sur les trois grands principes : 

*-que sont la coordination, la coopération et la participation de l’ensemble des acteurs !

*-l’art de fixer des objectifs structuraux généraux Publics Privés,

*-une organisation efficace permettant de structurer la réussite,

*-des objectifs intersectoriels permettant de guider l’efficacité par l’exemple, avec des indicateurs maîtres de contrôles et mesures pour suivre les performances avec ces indicateurs qui définissent statistiquement que la gestion appliquée répond bien aux objectifs fixés et se définit bien par les résultats et constats que villes, régions et territoires ciblés répondent bien à des épargnes nettes ajustées, aux indicateurs en développement humain, à l’indice du bien-être économique soutenable, comme à l’empreinte écologique, et de celle de l’empreinte carbone, etc.!

.., sachant que d’ores et déjà, toutes conséquences contrevenant à ces définitions touristiques seront rapportées mondialement !

*-faute de prise en compte de manière partagée public/privé de la transversalité des développements urbains et/ou régionaux incluant une stratégie touristique, il y a risque certain à venir, face aux ressentiments des communautés, face aux dégâts matériels qui sont les symptômes les plus évidents du surtourisme et qui ne sont pas bien entendu les seuls effets négatifs.

Si c’est un fait que le tourisme a un grand potentiel pour améliorer la qualité de vie locale et stimuler le développement économique, il va se soit qu’une croissance incontrôlée peut avoir l’effet inverse et ce déséquilibre peut très rapidement être qualifié de surtourisme par le manque d’attention en développement d’animation touristique comme aux manquements en développements des activités périphériques liant l’ensemble des métiers touristiques formels du tourisme comme ceux complémentaires issus de la modernité.

C’est un fait que l’afflux des touristes ne fait que faire grimper le coût de la vie, cela transforme les besoins et ne fait que rendre plus difficile le niveau de vie des populations, la recherche de logements abordables, déplace les résidents et modifie toutes formes d l’immobilier, des mobilités comme les besoins énergétiques sujets à la saisonnalité.

Par ailleurs malgré les revenus substantiels générés par le tourisme, de nombreux habitants se sentent exclus de l’économie touristique en plein essor, occupant des emplois à bas salaires alors que les bénéfices en découlant sont ressentis comme mal partagés. Cette disparité croissante en développement déséquilibré ne fait que nourrir le ressentiment des résidents qui aggrave (et/ou aggravera) les tensions sociales car estimant que le tourisme dégrade leur qualité de vie.

Déjà de nombreux pays, de nombreuses villes attestent de ces problématiques du fait des déséquilibres du marché locatif, des diverses nuisances sociétales, des menaces pour le patrimoine culturel, par la pollution, les problématiques en mobilités, en l’instabilité des besoins en énergies inter saisonnières etc… et qualifient en cela le surtourisme comme générateur d’effets néfastes pour l’urbain comme pour les territoires du fait du comportement des touristes qui peut aggraver la situation lorsqu’ils ne respectent pas les coutumes locales, allant parfois jusqu’à vandaliser des sites sacrés ou s’immiscer dans la vie locale. L’incompétence, le bruit, les faux guides touristiques peuvent être une nuisance pour ce qui est des milieux culturels, la présence d’énormes navires de croisière peuvent être une horreur pour le balnéaire etc….

Aussi, par l’analyse des réussites touristiques acquises (17.M4 en 2024) et incontestables mais que « je définirais comme nécessaires mais insuffisantes » je détermine que les règles de la gestion d’entreprise se rapportant sans aucun doute à celles urbaines et territoriales, définit que le « VITE ET BIEN », pour répondre aux réels besoins de réussir cette volonté touristique marocaine du Challenge 2030 (26.M),

*-ne peut être valable que si les données de la Durabilité touristique (emplois, économies sociétales et croissance) qui composent ce challenge Royal,

*- pour être valables et fiables face à ce véritable chamboulement transversal qui s’oblige, ne pourra être EFFECTIF et DURABLE que si, traitées équitablement dans les réels équilibres des besoins de la transversalité nationale qui s’impose,

*-*n’oubliant en rien les obligations d’une Industrie touristique qui se veut nationale rapportée aux besoins de la régionalisation avancée en se rapportant à des objectifs institutionnels traités dans des équilibres inclusifs entre institutions en la transversalité ministérielle relevant de l’aménagement territorial, ensemble des métiers professionnels reconnus comme additionnels issus de la modernité touristique, société civile, jeunesse et populations, cela en un véritable partenariat interrégional public/privé !

Patrick SIMON 17 Janvier 2025