Pourquoi une telle fatalité pour cette Province de Tata –
Pourquoi cette fatalité sur cette Province de Tata si longtemps oubliée, négligée, pour être laissée ainsi dans l’oubli Gouvernorat après Gouvernorat ?
* hors de toutes décisions à l’échelon national, régional comme provincial ?
* décisions susceptibles de lui apporter des solutions de développements ?
* soumise à la main mise de quelques personnages qui de par leur durabilité dans la gestion de cette région s’imposent encore et toujours sans que rien ne bouge !
* hors tout Greenwashing pour ces diverses inaugurations en investissements nationaux, formulées par Province et les divers Conseils qui n’existent que par leur nom, alors que ces derniers :
- sont tous inactifs sur toutes propositions pour ce qui leur incombent ?
- sont tous inactifs sur toutes propositions qui peuvent leur être faites ?
- pour des investissements pour la plupart hors volontés et besoins urgents des populations et parfois même en pleine contradictions de leurs besoins, tel pour exemple l’eau qui est source de vie, et même de survie ?
- avec ces quelques notables qui n’ont plus aucune fonction autre que celle de s’accrocher aux intérêts provinciaux (personnels) après quelques décennies de pouvoirs locaux avec l’aide de quelques acteurs décisionnels locaux restant aux aguets pour les récupérations de projets ?
Pourquoi une telle fatalité pour cette Province de Tata, capable par ses représentants d’ignorer les évidences des destructions subies par les populations de l’habitat local, faisant suite au Séisme du 8 Septembre 2023, alors que deux de ses hôpitaux auront dû être reconstruits, que l’hôpital civil garde toujours les marques flagrantes de ces secousses, que des établissements d’enseignement public tel que celui de l’OFPPT reste toujours fermé pour causes de dégâts structuraux amenant à des enseignements pour les étudiants dans des containers, étouffant très certainement les problématique de constructions de ces établissements !
Pourquoi une telle fatalité dans cette Province de Tata qui, incapable de produire et proposer des études de structurations n’a que pour mission d’accompagner son personnel,
*-confondu dans des conflits d’intérêts à être soutenus dans des actions de société civile pour lesquelles en tant qu’acteurs de l’administration qu’ils représentent sont incapables de prouver un quelconque changement année après année ?
*-missionné pour s’accaparer des projets issus de la Société Civile et capable en cela de déclarer dans les registres des associations, que des associations qui interpellent par leurs réalités sont déclarées comme associations résiliées,
*-cela par des actions hors la loi de 58, pour mieux aider ceux-ci à s’accaparer des données et projets transmis, cela, avec appui de l’administration,
- Cela malgré toutes preuves d’existences et d’activités de ces dernières !
Pourquoi cette fatalité dans cette Province de Tata pouvant, aux détriments des intérêts de sa population car non intégrée à ces problématiques :
- soutenir des activités sur des thématiques telles que « Patrimoine et les ressources territoriales vers la réalisation d’un développement intégré dans la Province qui se tiendra les 2-3-4 Mai 2024 à la Province de Tata »
*alors qu’aucune communication pour appel à participation ne peut être décelé que ce soit par l’organisme organisateur, et l’administration locale
*alors que des acteurs locaux sont désignés comme modérateur et participants aux tables rondes
- les acteurs participants sont ceux des directions désignées sont chargées des régulations de ces activités de Tata sont définis comme incapables de démontrer qu’elles agissent en ce sens et ne servant qu’à mettre en valeur des acteurs de l’administration locale dans de soi-disantes activités associatives (personnelles) pour lesquelles ils sont reconnus comme parfaitement inactifs !
- accorder à des commerçants externes à la province, d’avoir donné possibilités d’exercer des activités agricoles de la pastèque en des lieux ou le Stress hydrique est au summum remettant ainsi en question les possibilités mêmes de durabilités résidentielles des populations en ses régions par les manques d’eau !
- donner des autorisations de puits sans surveiller le nombre de ces puits informels qui accompagnent ces dernières !
Pourquoi une telle fatalité dans cette Province de Tata de n’être jamais comprise dans les projets régionaux en toutes formes de développements ! (Confère, une nouvelle fois les décisions du dernier Conseil Régional ignorant la Province de Tata !) https://www.facebook.com/photo/?fbid=827330459435312&set=pb.100064750973324.-2207520000
Pourquoi cette fatalité dans cette Province de Tata ignorée de toutes évolutions possibles d’un tourisme et éco tourisme nature/culture dans les décisions provinciales, régionales, nationales malgré les succès certains de ces quelques projets prouvant ces réalités de réussites en monde rural d’une part en constatant d’autre part qu’un responsable local est capable devant des jeunes de déconseiller le développement touristique considérant que cela déroutera ces jeunes de vouloir travailler alors que ce dernier, responsable du tourisme propriétaire d’un camping sera capable de ne faire valoir que cette activité !
AUSSI, EST-CE A CROIRE QUE D’AUTRES RAISONS EXISTENT ET SI OUI LESQUELLES ?
Seraient-ce ces richesses minières de ce territoire qui s’avèreraient comme tellement importantes, qui poseraient des problématiques de durabilité pour la survivance locale de ces populations face aux besoins de ces exploitations très demandeuses en eau ?
*Eau nécessaire pour les lavages des minerais afin de rentabiliser leurs transports ?
*Incohérence des exploitations des Oasis qui en leurs états cultuels grèvent toutes formes de développements !
*ou tout simplement blocage social structurel sans aucune capacité à manifester toutes formes de développements adaptés par ces blocages insoupçonnés ?
Aussi, ne serait-il pas plus positif par une prise de conscience respectable au niveau provincial, régional comme national de faire les véritables études d’impacts qui en premier lieu définiraient les véritables solutions et en second permettrait de définir le devenir d’une population provinciale de 117.000 habitants ??? (Recensement de 2014)
- *Pour toutes problématiques, il existe des solutions !
- Nous définissons pouvoir en apporter !
- *Encore faut-il les gérer, le vouloir !
- Nous définissons le vouloir et cela depuis 2012 !
- *Encore faut il l’entreprendre en temps utiles, afin d’éviter ces drames que l’on peut vivre par ces non décisions prises en temps utiles !
- Pour cela il s’agit de considérer une volonté collaborative et non ces seules actions lancées en catimini
Signature : Patrick SIMON
AMDGJB Géoparc Jbel Bani – Aut : 1954-36 Tata