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TOURISME MAROC -UNE INDUSTRIE PARTAGEE ENTRE SECTARISME ET SECTORISME ?

J’en appelle ainsi de mes vœux pour une durabilité touristique enfin accessible et autorisée s’engageant à reconnaitre ENFIN une Industrie Touristique Marocaine reconnue et soutenue dans un projet :

* 50/50 TOURISME INTERNATIONAL ET TOURISME INTERIEUR,

* URBAIN – RURAL !

* BALNEAIRE – CULTURE/NATURE !


Ne dit-on pas que « Commander c’est prévoir » ! Aussi, ne devrions-nous pas, pour ce qui nous intéresse faire valoir que « Représenter c’est savoir communiquer »
En effet qu’est-ce que communiquer ? sinon
*en premier lieu « Faire savoir quelque chose, le révéler, en donner connaissance ; transmettre, divulguer »
*en second lieu « Concevoir une communication professionnelle » pour définir en quoi notre industrie touristique, en ses qualités et défauts, répond dans son cadre public/privé aux qualificatifs que les professionnels comme le marocain « Lambda » devraient être en mesure de s’attendre, avec les questionnements suivants :
*Quels sont les types de la communication professionnelle mis en place ?
*Quel rôle joue la communication touristique en notre milieu professionnel ?
*Qui communique, avecnotre milieu professionnel ? avec les populations ?
*Quels sont les enjeux de la communication touristique marocaine professionnelle ?
Et en cela, se poser les questions sur:
*Quel est l’impact de la communication pour les professionnels ? pour les populations ?
*Quel est son rôle ou devrait être son rôle ?
*En quoi celle-ci pourrait être importante ? efficace ! rentable !
*Quel est l’objectif de la communication professionnelle actuelle ?Est-ileffectivement défini ?

Questionnements après de longues années de silence en assises, en vulgarisation résultant du fait que les professionnels comme les délégations qui sont supposées les représenter ne peuvent que s’aligner sur une définition de communication de groupe qui doit émerger de manière plurielle afin de s’adresser à l’ensemble des professionnels constituant cette industrie touristique actuellement définie avec les cinq métiers qui la constituent, mais aussi et sans aucun doute pour s’adresser par un ensemble de messages ciblés, actualisés aux activités para touristiques non encore officiellement rattachées bien que motrices d’une industrie touristique actualisée, mais existe t-elle ?.
Certes cette forme de communication professionnelle est aussi complexe et multiple car liée aussi bien au national qu’au régional et territorial mais il semble grand temps de considérer qu’elle se doit également être source de partage avec les populations marocaines en tant qu’actrice du devenir et sujette à réclamer ses droits à une industrie touristique marocaine inclusive et intégrée
Aussi posons-nous les questionssur les moyens et besoins de réconciliation en communication touristique Bottom up entre populations et Tourisme marocain, considérant comme fondement de cette interrogation que : PROMOTION N’EQUIVAUD EN RIEN A COMMUNICATION !
L’industrie touristique marocaine
se doit selon nous de se doter d’une cellule communicative émergeante la mettant en exergue sur le plan interne comme sur le plan des marchés externes par l’intrusion entre les professionnels tous azimuts et les touristes nationaux comme internationaux par les médias de masse ou « Mass-Média » dont la radio et la télévision :
Cela par des moyens en communication ciblée, émettant :
*vers les professionnels avec des indicateurs transmis en temps utiles !
*vers les populations !Aujourd’hui, les NTIC et en particulier Internet abaissant à un niveau sans précédent le coût de la communication rendant ces rétroactions possibles !
*Encore faut-il le vouloir !
*Encore faut il s’en donner les moyens !
*Encore faut-il surtout en prendre conscience, car il est un fait que les années passant, l’industrie
touristique marocaine s’est tout particulièrement abandonnée aux mains des hôteliers qui faute de stratégie et gouvernance auront eu la tendance facile du faire valoir prioritaire de l’hébergement d’une part, du tourisme international oubliant l’essentiel de l’expérience touristique, de la pluralité des offres, ignorant le tourisme interne !
Aussi, considérant que mieux valant tard que jamais, considérant les atouts certains de la réussite des attractions, attractivités que s’est donnée le tourisme marocain :

qui ne demande qu’à être suivi, conforté d’une image touristique reconnue dans le monde entier,

qui fort de ces performances, doit de se parfaire pour prendre les parts de marchés qui lui revient comme de celles africaines qui se dessinent, notre industrie touristique ne peut plus se dérober, une nouvelle fois,en ignorant par ce semblant de reprise post Covid, ce besoin structurant d’avoir à régler définitivement le problème de son tourisme interne, régional et territorial.
L’évolution actuelle démontrant en disjonction et non en disruption l’engouement centralisé relayé par les quelques acteurs communicatifs Public/Privé marocain pour le tourisme international risquerait une nouvelle fois de reporter le tourisme interne à plus tard,
*valorisant sans limite l’informel et les dérégulations totales et entières des capacités de développement territoriaux équilibrés, inclusifs et durables
*valorisant sectarisation par la sectorisation !
J’en appelle ainsi de mes vœux pour une durabilité touristique enfin accessible et autorisée s’engageant à reconnaitre ENFIN une Industrie Touristique Marocaine reconnue et soutenue dans un projet :

50/50 TOURISME INTERNATIONAL ET TOURISME INTERIEUR,

URBAIN – RURAL !

BALNEAIRE – CULTURE/NATURE !
Très cordialement
Patrick SIMON – DURABILITE TOURISTIQUE – 4 Novembre 2022