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LE MANQUE DE DEFINITIONS D’UNE INDUSTRIE TOURISTIQUE MAROCAINE IMPACTE SON DEVELOPPEMENT

LE MANQUE DE DEFINITIONS D’UNE INDUSTRIE TOURISTIQUE MAROCAINE IMPACTE SON DEVELOPPEMENT,

ET TOUTES FORMES DE SES DURABILITES ET RESILIENCES NATIONALES, COMME REGIONALES

Cela ne pouvant s’envisager qu’avec une promotion révisée permettant les durabilités et résiliences durables capables de se confronter aux nouveaux critères concurrentiels touristiques qui se mettent en place au plan international ! La transversalité qui compose cette industrie sur le plan national du maroc, aussi bien qu’au niveaux intérieurs, ne remplit pas pour le moment les problématiques premières qui sont celles de considérer et de tenir compte des éléments touristiques internationaux qui imposent des stratégies partagées, donc durables.

Incontestablement les diverses nouvelles offres, sans définition d’une institution Public/Privé capable, vis-à-vis des administrations, élus, professionnels et populations de définir raisonnablement les termes de ce que doivent être les développements nationaux et régionaux, aucun programme digne de pouvoir représenter l’industrie touristique marocaine ne sera en mesure d’établir les besoins en équilibres qui s’imposent également aux niveaux nationaux, régionaux, provinciaux pour créer des investissements, se rapportant à des stratégies durables.

La résilience marocaine actuelle incontestée et incontestable, qui la porte aux meilleures positions des Top 20 et Top 30, en ne se proposant pour l’instant de ne répondre principalement qu’aux performances de Marrakech, risque fort d’imposer en effet des problématiques matérielles, comme sociétales, aussi bien par les manques d’eau, mobilités avec les arrières pays, que par la démission des Marrakchis, incapables de suivre ces formes de développements non contrôlés faute de schémas directeurs tous azimuts, amenant à des situations non tenables en ces évolutions non partagées, car structurellement non ciblées, aucune formule de confortement étant cadrée, coordonnée en inter régional, au niveau national pour y remédier cela pour une concentration trop prononcée pour Marrakech !

LE MAROC AYANT A CREER SA CLIENTELE ET NON A LA SUBIR, IL EN SERA AINSI POUR CE QUI EST :

* d’une non gestion des besoins en eau, capable de répondre aux besoins de la population et de celle    de la croissance touristique nationale, donc économiquement et régionalement, donc en multi    sectorielle ce qui fait qui aura été négligée :

* par la non diversification des investissements régionaux et locaux, hors tourisme, pour éviter touts    ces obstacles résultant d’une mono-activité et ne permettant plus un emploi diversifié !

* par le fait de ne pas tenir compte de cette croissance imposée, constatée, ne répondant pas    territorialement à un étalement annuel des fréquentations,

* en n’étant pas arrivée à se diversifier avec des investissements définis vers une durabilité territoriale

* en n’ayant pas éliminées les risques déjà reconnus de surtourisme par le manque de rapports tenables entre le nombre de prestations offertes avec les taux de fréquentations à venir !

* par les manquements en formations et adaptations d’activités en rapport avec les taux de croissances    envisagés en ces nouveaux objectifs pour ce que sont emplois touristiques des métiers reconnus par la Loi comme de ceux des nouveaux métiers (toujours non considérés à ce jour dans nos formules de croissances) formels comme informels !

* du fait d’une non-participation régionale pour la résolution d’un niveau de vie de la population adapté à une croissance envisagée et projetée !

Cela pour ne citer que les évidences à mettre en corrélations avec les conséquences, non prises en compte à ce jour, des nouvelles formes de développements touristiques mondiales qui se programment en stratégies, en nouveautés, en promotions, en mobilités, en numérisation, digitalisation, pour des besoins admissibles qui en résulteront du fait de ces nouvelles concurrences touristiques internationales, basées sur des fonds souverains internationaux avides de modernités et de l’aspiration qui en résultera pour les personnels de haut niveau, tous niveaux nécessaires à leurs programmes et résolutions de leurs Visions 2030 !

Aussi, pensons-nous, humblement à notre juste niveau comme nécessaire et urgent à ce que cette Haute Autorité Public/Privé, définie sur des composantes diversifiées et basées sur le durable et la durabilité pluri fonctionnelle soit mise en œuvre avec ses propres moyens pour que soient considérées les interconnections régionales en relations avec la Régionalisation avancée et les Nouvelles Formes de Développements permettant de prendre en compte aussi bien le futur proche, qu’une vision 2030 revisitée et reportée à 2040-2050 !

*tout en considérant, cela est bien entendu, le fait d’avoir comme le Maroc sait le faire, à répondre en priorité pour les CAN 2025 et le MONDIAL FOOT de 2030 aux réponses à donner par les villes, et stades concernés, MAIS CELA SANS AVOIR A REPORTER SES OBLIGATIONS POUR L’INTERNE, LE REGIONAL !

*pour ce que sont les notions de choix pour ce qui est du Maroc défini entre tourisme balnéaire, métropolitain et entre urbain et rural :

  • tout en considérant en premier les besoins en eau, hors tout Green Whashing, capitalisés et structurellement considérés, adaptés aux capacités climatiques et géologiques des villes, des régions concernées tenant compte des pluri sectoriels,
  • en définissant que pour le balnéaire (Atlantique et Méditerranée), que les usines de dessalement pourront plus facilement y répondre dans le durable, sous réserves des nécessités d’études d’impacts permettant d’en assurer la pérennité comme la durabilité, *comme de celui de respecter des écosystèmes maritimes pour éviter d’impacter le secteur pêche !

*cela tout en tenant compte également des contraintes occasionnées par le changement climatique des littoraux (déjà concernés) pour les deux à trois décennies à venir !

  • en révisant au plus tôt les notions des promotions et des mobilités nationales en tenant compte, à courts, moyens et longs termes, les répartitions des lignes aériennes et maritimes répondant plus à un tourisme souverain, ciblées sur les programmes projetés et dominant ses propres problématiques, pour celles entre autres choses répondant purement et simplement aux besoins réclamés,

*en tenant compte des mobilités ferroviaires et aériennes actuellement programmées !

*en ne tenant plus compte des contraintes actuellement imposées au Maroc par les pourvoyeurs actuels de nos touristes et voyageurs que dans la mesure où cela est constructif pour la vision de la définition d’attraction et attractivité que le Maroc souhaite se donner !

Cette Haute autorité Public/Privé se devrait donc ainsi, compte tenu de ces quelques réflexions non exhaustives pour ce que sont les points à considérer, revoir sa copie qui reste en ce sens blanche jusqu’à ce jour, pour définir en disruption par rapport aux objectifs actuels, les réels besoins stratégiques à décréter dans l’urgence tout en considérant les réelles adaptations aux besoins du tourisme identitaire et durable de demain de manière inclusive, car la cataloguer sans partage n’augurerait en rien les capacités de réceptivités touristiques par les futurs porteurs de ces projets non encore identifiés :

*pour ce que sont les besoins en meilleures répartitions sur les villes (Casablanca, Rabat Tanger Fès) en jugeant et jaugeant les réelles capacités en fréquentations par les tourismes étrangers, internes. Mais également pour le MICE International et celui national où par les besoins de mises à niveaux régionales des plannings semblent pouvoir augurer une certaine rentabilité du ce tourisme interne recherché !

 Mais aussi golfiques et sportifs de tous ordres, mais aussi pour ce que pourraient être leurs implantations dans les régions, pour le balnéaire, le nature/culture, les niches de tous ordres, l’ensemble de ces capacités pouvant être facilement démontrées pour les développements touristiques de demain.

Il s’agit pour cela de tenir compte de ces nouvelles problématiques énergétiques en rapport avec les réalités des bassins économiques et de ceux de l’emplois afin de pouvoir par du Développement Territorial par le Bas, répondre en cela aux nouvelles exigences que les touristes ont pu eux même apporter en rapport avec des synergies partagées avec pour exemple Essaouira, Dakhla en différenciation de celles que la géopolitique mondiale impose !

*pour tenir compte des glissements déjà constatés des pôles de mobilités aériennes qui se transposent de l’Europe vers le Proche Orient et l’Asie définissant par avance de nouvelles exigences telles que celles dont on aura eu à subir avec les GAFAM, cette fois ci par de nouveaux mastodontes aériens !

*pour tenir compte de cette souveraineté marocaine souhaitée par sa Majesté le Roi, tournée vers un développement renouvelé, cherchant à se diversifier en projets énergétiques tournés vers le futur, vers l’Afrique, en se tournant vers d’autres horizons industriels, économiques, financiers, définissant en cela que sera pris prioritairement en compte les Industries qui répondront à ces critères progressistes, durables !

Pour cela, et bien entendu tout en considérant les réalités de ce qu’auront donnés en convictions, en participations les professionnels sans oublier l’artisanat, la société civile, l’ensemble des métiers du tourisme à leur pays, formel comme informel, nous pensons utile à ce que des études plus inclusives, plus économiques, plus ingénieuriables, plus nationales, plus régionales, plus diversifiées, plus inclusives et plus convenues, conçues en transversalités partagées, soient programmées tel que cela l’aura été sous l’égide de sa Majesté le Roi Mohammed VI pour le Développement des Provinces du Sud avec les 1500 consultations tous azimuts, toutes catégories d’activités publiques et privées sur une période de six mois qui aboutirent ainsi aux Nouvelles Formes de Développements pouvant ainsi s’insérer avec les critères définis d’une Régionalisation Avancée , Vernaculaire, Nationale rapportées à des objectifs nationaux Marocains.

NOUS PENSONS EN EFFET QUE LES PROFESSIONNELS SEULS :

* NE PEUVENT PAS CONTINUER A DEFINIR LE DEVENIR INTER REGIONAL ET NATIONAL MAROCAIN PARTAGE ENTRE FORMEL ET INFORMEL !

*TROP D’ENJEUX TRANSVERSAUX ECHAPPANT NATURELLEMENT A LEURS PREOCCUPATIONS !

Ils ne peuvent pas en effet sans ce Public/Privé résoudre ces besoins en innovations, inventions et créations qui s’avèrent nécessaires pour tenir compte des nouvelles notions en développements transversaux territoriaux et touristiques précitées tenant compte des besoins des valorisations nécessaires en parallèle, des mondes urbains et ruraux.

Le maroc a besoin pour son tourisme comme pour son équilibre sociétal, une durabilité sociétale de tenir ces équilibres entre ces deux mondes tout en traitant les problématiques d’exode rural qui se dessinent du fait des changement climatique et stress hydrique qui en résultent et qui marquent transversalement toutes les activités, telles l’agriculture, la pêche, le minier, et par des conséquences directes qui impactent l’équilibre national comme territorial du tourisme en ses choix, en un futur transversal de proximité.

Le Maroc a ainsi besoin d’une industrie touristique constructive capable d’interpeller en temps utiles !

Pour se faire il est nécessaire par cette Haute Autorité à ce que les volontés exprimées par les professionnels puissent être soumises à débats contradictoires aussi bien régionaux que nationaux en associant en cela, les Politiques, les Elus, l’Association Nationale des Investisseurs Touristiques (ANIT), la Confédération Générale des Entreprises Marocaines (CGEM), le Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), l’ Agence Nationale de la Conservation Foncière, du Cadastre et de la Cartographie (ANCFCC) pour régler les problèmes latents du foncier, les Conseils Régionaux d’Investissements (CRI), les Conseil Régionaux du Tourisme (CRT), les Sociétés de Développement Régionaux (SDR) pour ainsi être relayé vers les instances gouvernementales d’une part et d’autre part  pour que des mises à niveaux soient entreprises également aux niveaux nationaux mais aussi  régionaux comme provinciaux auprès de l’administration, des élus, des notables locaux, cela AFIN DE RESOUDRE CES FREINS AUX INVESTISSEMENTS ET AUX DEVELOPPEMENTS QUI GREVENT LES EQUILIBRES SOCIO-ECONOMIQUES du pays en dévalorisant les attraits, l’attraction et l’attractivité pour les investisseurs comme pour la population composée de sa jeunesse, des femmes, de la société civile des territoires qui pourtant :

* sont les véritables vecteurs futuristes de développements et garanties des équilibres pour le maroc de demain,

* et qui, n’étant pas sollicités ne croient plus guère à ces objectifs régionaux s’ils n’en connaissent pas les raisons et définitions les acteurs locaux se réservant encore et toujours l’information !

IL est grand temps qu’unanimement ces questionnements qui fâchent pour ce qui est des problématiques regroupant, pour ce qui est de l’image donnée par Marrakech, telles celles (qui ne sont en rien des détails) de la circulation des motos, de l’état et propretés des trottoirs, des marchands ambulants, des services des taxi qui de l’aéroport sont capables de faire payer trois fois le prix pourtant indiqué au comptoir délivrant les tickets etc. (ayant moi même eu à vivre cela), caractéristiques qui, en tant qu’images définies comme étant celles du Maroc et du tourisme marocain par bon nombre de voyageurs et touristes, devraient interpeller les autorités locales pour l’impact que cela peut avoir pour la réputation de la ville ! Pour l’influence que Marrakech peut également exercer sur le tourisme national par la concentration actuelle des nuitées qui dépasse de très loin les données qui avaient été définies pour l’équilibre du tourisme national par la Vision 2010/2020 pour considérer des taux de remplissages nationaux (et non de Marrakech) à soixante-deux pour cent (62%) pour garantir gestion et croissance de l’ensemble des métiers du tourisme de manière constructive et durable !

Les crises ayant à se renouveler, Marrakech ayant à être obligatoirement touché, impactera l’ensemble d’une industrie touristique nationale, faute d’un équilibre enfin résolu entre tourisme étranger et tourisme interne ! Les prises en compte de ces choix d’intérêts de croissances diversifiées semblent de plus en plus être, dans l’urgence la solution première à résoudre ! Car Marrakech ayant à être malade c’est le tourisme ainsi qui en est globalement impacté ! La Covid l’ayant déjà prouvé !

IL est grand temps qu’unanimement ces questionnements qui fâchent soient mis en avant afin que le tourisme se hisse à la hauteur des outils moteurs et favorables aux développements durables dans un soucis de démarches basées sur l’inclusion, l’intégration, l’image, en tant que pôle de compétitivité national comme régional, vecteur de formes de développements respectant inter régionalement les identités et authenticités en éléments culturels patrimoniaux, vernaculaires  qui ont pu définir jusqu’à ce jour les succès et force du tourisme et de sa résilience, mais en sacrifiant les faire valoir, les images et attractivités régionales !

IL est grand temps qu’unanimement ces questionnements qui fâchent soient susceptibles de répondre aux besoins futurs de la création d’une clientèle de touristes et voyageurs demandeurs et convaincus des qualités offertes par le Maroc pour et par ses valeurs identitaires reconnues et capables de résoudre et multiplier les taux de retours par quatre ou cinq, retours établis sur des répartitions inter régionales marocaines ! les outils touristiques d’hébergements valorisant leur succès actuel en ayant à promouvoir l’ensemble des autres régions pour valoriser ces capacités de retours !

IL est grand temps qu’unanimement ces questionnements qui fâchent soient susceptibles de convaincre que seuls de tels résultats seront susceptibles de pouvoir être définis comme un véritable succès de la résilience du Tourisme Marocain de demain étant capables d’affronter par authenticité et identité toutes ces formes de concurrence possibles !

CE PARTENARIAT Public/Privé se doit d’inverser les tendances actuelles qui définissent une dépendance trop importante de ses activités pour le PIB Marocain !

IL A EN CELA A SE REMETTRE EN QUESTION, A SE RENOUVELER !

ON CONCLURA EN CELA QUE L’ON NE SUBIT PAS UNE CLIENTELE !

MAIS QUE L’ON SE DOIT DE LA CREER POUR ËTRE DURABLE !

QUE L’UNION FAIT LA FORCE POUR PEU QU’ELLE SOIT PARTAGEE !

TRES CORDIALEMENT

Bon courage à toutes et tous ! Pour y croire tous ensemble !

Patrick SIMON – DURABILITE TOURISTIQUE – Le  15 03 2024